
Le contexte dans lequel le quotidien privé qu’il a créé a été de nouveau suspendu pour trois (3) mois, le pousse à rendre le tablier et quitter la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC).
Il n’y a pas longtemps, le même titre a été condamné par la justice togolaise à payer douze (12) millions de FCFA et trois (3) mois de suspension après qu’il a publié un article faisant état de ce qu’un jeune aurait été tué par balle sur la route de Tabligbo lors du passage du convoi de Victoire Tomegah-Dogbé, la cheffe du gouvernement.
Cette nouvelle suspension fait sortir Zeus Aziadouvo de son gong. Ce dernier est le propriétaire de la parution en question et également président du Comité technique presse écrite de la HAAC.
S’il le journaliste démissionne, c’est parce qu’il récuse sa signature en bas du document qui mentionne la suspension de Liberté. En effet, il claque la porte de l’institution après avoir pris soin d’adresser une correspondance à Pitalounani Telou, le président de la HAAC.